Et si on se formait ?
Pour interroger vos pratiques sociales, éducatives et en santé mentale, il y a encore quelques places au certificat « SANTÉ MENTALE EN CONTEXTE SOCIAL », partenaire privilégié de notre association. N’hésitez pas à diffuser autour de vous.
Vous êtes travailleurs, responsables ou bénévoles dans les secteurs du social, du psycho-social, du médical, vous souhaitez parfaire vos expertises de terrain et mieux cerner les effets de la crise sanitaire sur la santé mentale et les conditions de vie des personnes en situation de précarité socio-économique.
La formation « Santé mentale en contexte social : précarité et multiculturalité » vise à renforcer les compétences des professionnels engagés dans l’accompagnement des personnes exilées, précarisées, en situation de détresse psycho-sociale ou aux prises avec des conduites à risque.
La formation initie les participants à d’autres représentations de la maladie et du soin.
Le certificat renforce leurs compétences au sujet des systèmes de références, des logiques et des styles de vie des personnes exilées, précarisées, aux prises avec des conduites à risque.
Le certificat accompagne les professionnels dans l’acquisition d’éléments de compréhension et d’ouverture sur les mondes sociaux des personnes, leurs ressources, bricolages identitaires et les rapports de dominations.
Le certificat facilite le dialogue entre les professionnels, renforce les capacités de médiation/négociation et permet d’ajuster et d’évaluer en continu les modes d’intervention. Les modules développent également des approches adaptées à ces publics
La crise sanitaire et les mesures prises pour y répondre produisent des conséquences sérieuses et parfois dramatiques pour les personnes qui se sont vues privées d’aides sociales associatives ou institutionnelles, de leurs réseaux informels proches et de leurs sources de revenus. La crise sanitaire apparait comme un marqueur des inégalités sociales qui traversent les sociétés contemporaines, augmentant, dans l’invisibilité, les écarts entre celles et ceux qui ont ou non accès aux droits fondamentaux. L’exiguïté des logements et la cohabitation forcée des couples ou des familles sont sources de violences et d’atteintes à la santé mentale des personnes qui se retrouvent, pour nombre d’entre eux, privés de soutien et d’accompagnement.
Contact : xavier.brike@gmail.com